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arts martiaux

28 mars 2007

Bonjour, je m'appelle David j'ai 15 ans. J'ouvre

Bonjour, je m'appelle David  j'ai 15 ans.
J'ouvre ce blog car je suis très intéressé par les arts martiaux et j'aimerais vous en faire profiter. J'i suis intéresser car j'aimes beaucoup les combats, les armes Chinoise et Japonaise pour leur héstétique et leur histoire. J'essayerai de rajouter régulièrement des liens, des photos et des infos fraîches.
Je vous invite à m'en envoyer. Ajoutez des commentaire, il seront les bienvenus.
J'espère que vous apprécierez ce blog, David.

voici les sites qui m'on aidé à trouver ces infos:
www.lesartsmartiaux.com
www.martialonline.net

 

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28 mars 2007

Arts Martiaux et Philosophie

Arts Martiaux et Philosophie ?
Extrait du livre ”FORGER LE DRAGON” : “ Privé de philosophie le pugiliste n'a d'autre devenir que celui d'une machine de combat (…) La philosophie des Arts Martiaux n'apparaît pas sous la forme d'un exposé dogmatique. Elle est plutôt une sagesse issue de différents milieux. Le Chamanisme, le Taoïsme, le Bouddhisme, le Confucianisme en sont les fondements. (…) La philosophie des arts martiaux est tirée de ce vaste creuset. Elle s'instruit de plusieurs enseignements spirituels pour mieux comprendre les aspects de l'homme et de la nature vécus dans la pratique quotidienne de l'Art. Elle superpose à la progression technique l'éducation mentale du pratiquant. Le potentiel d'énergie et d'efficacité, en accroissement constant, est ainsi canalisé vers l'esprit chevaleresque, la noblesse et la grandeur d'âme, la spiritualité. (…) La philosophie de l'Art se pratique et se vit avant tout. En parler sans pratiquer revient à intellectualiser les Arts Martiaux (…) Chaque Maître professe une sagesse dans le cadre personnalisé de son école. Généralement, cette sagesse prend toute sa valeur dans la réalité pratique.”

Origines des arts martiaux

    Lorsque les arts martiaux primitifs arrivèrent en Extrême-Orient, ils y prirent racine et se diversifièrent graduellement en un certain nombre de disciplines. Malheureusement, nous ne savons presque rien de cette première période qui se perd   dans le mythe et la légende.

    Quelques rares éléments d'information disséminés dans les anciennes traditions littéraires et artistiques de la Chine et de l'Inde nous laissent croire cependant que le début du développement des arts martiaux dans ces civilisations se situerait entre le 5e s.av.JC (époque ou la chine commençait à fabriquer des sabres en grand nombre) et le 3e s.apr.JC (date à laquelle sont transcrits pour la première fois les exercices fondamentaux des arts martiaux).

    Les documents ou objets sont fort rares au début de l'histoire des arts martiaux. En fait de nombreux maîtres pensent aujourd'hui que leur art a vu le jour en Chine au début du 6e siècle de notre ère.

    Cette conviction repose sur une légende qui raconte comment arriva un jour au temple Shaolin, au pied des monts Song-Chan du royaume de Wei, en Chine, un moine venu de l'Inde, Bodhidharma. Ce moine enseignait une nouvelle forme de bouddhisme, plus directe, dans laquelle le disciple cherchait à atteindre l'illumination par la méditation perpétuelle. Bodhidharma serait lui-même resté neuf ans assis à contempler le fond d'une grotte avant de former d'autres moines à son école.

    Pour les aider à supporter ces longues heures de méditation, Bodhidharma leur enseigna des techniques respiratoires et des exercices qui leur permirent de s'endurcir et de mieux se défendre dans les montagnes reculées ou il vivaient. De ces enseignements serait né le dhyana, c'est-à-dire l'école du bouddhisme méditatif que les Chinois appellent ch'an et les Japonais zen.

    L'art martial connu sous le nom de shaolin ch'uan-fa, ou la boxe du temple de Shaolin, serait lui aussi fondé sur ces exercices, tout comme de nombreux autres arts martiaux de la Chine et du Japon seraient issus de le même tradition.

    Pourtant, une étude attentive des documents historiques montre que les arts martiaux étaient déjà florissants en Inde comme en Chine, bien avant le voyage de Bodhidharma.


La diffusion des arts martiaux

    L'histoire des arts martiaux à partir du 3e siècle est celle du développement graduel de leurs techniques, de l'enrichissement de leurs philosophies et de leur lente diffusion dans d'autres pays, généralement sur les pas du bouddhisme.

    De nombreux arts martiaux différents sont apparues en Inde et en Chine au cours des mille cinq cents dernières années. Nombre d'entre eux sont toujours pratiqués, et la plupart sont issus de quelques grande écoles fondatrices. Par exemple, la majorité des écoles de kung-fu paraît s'incrire dans la tradition de la boxe du temple de Shaolin. C'est sous forme systèmes complets, constitués d'une idéologie autant que d'une pratique ou d'une technique , que les arts martiaux ont franchi les frontières de la Chine et de l'Inde pour se répandre en Corée, au Japon et dans le sud-est de l'Asie.

    Ces pays devaient posséder aux aussi leurs propres arts martiaux, mais les techniques et les idées venues de l'étranger s'imposèrent par leur supériorité et firent évoluer peu à peu les arts indigènes, les transformant en arts martiaux authentiques.

    Les arts martiaux actuellement pratiqués en Birmanie, en Thaïlande, en Malaisie, en Indonésie, en Indochine, en Corée sont tous clairement apparentés à la boxe chinoise. Cependant, c'est son contenu intellectuel qui distingue un art martial d'un art de combat. Même si nous savons comment les arts martiaux se sont propagés d'un pays à l'autre, nous ignorons encore quand a eu lieu cette assimilation plus profonde qui transforma les arts indigènes en arts martiaux.

    Les Japonais, fortement influencés par la culture chinoise, ont surtout appris les leçons des anciens maîtres au début de leur histoire, puis mirent lentement au point leur propre arts martiaux. Aujourd'hui, le japon est  le pays le plus riche d'Asie par la diversité de ses arts martiaux et par le nombre relatif des personnes qui les pratiquent.


Les arts martiaux en Occident

    Le monde occidental ignorait pratiquement tout des arts martiaux d'Orient avant le 20e siècle. Les premiers voyages d'exploration des Européens ne datent que du 14e siècle. A partir de 1400, leurs explorations successives leur révélèrent peu à peu un monde qui les remplit d'étonnement.

    Les premières disciplines martiales bien connues qui soient purement européennes sont celles qui étaient pratiquées aux grandes fêtes et compétitions de la Grèce antique. Les plus célèbres d'entre elles furent naturellement les jeux Olympiques, ou se déroulaient des combats de lutte et de boxe, à côté d'activités plutôt liées au maniement des armes, comme le lancer de javelot. Le pancrace, un assaut de lutte et de boxe qui se terminait parfois par la mort du perdant, était la plus brutale. Mais ces jeux, aussi sanglants qu'il aient pu être, étaient essentiellement des sports, exécutés devant un public, dans un esprit de compétition et de divertissement. Rien ne permet de croire qu'ils aient eu des objectifs plus profond de développement personnel.

    Environ mille ans plus tard, l'Europe médiévale vit naître une classe de guerriers qui, à plus d'un égard, furent les archétypes européens des adeptes des arts martiaux. Le chevalier médiéval, dont l'adresse et le courage étaient trempés au combat, vivait selon un code ou l'emploi des armes jouait un rôle clé.

    Les arts martiaux du moyen age n'étaient pratiqués que par les chevaliers. Les meilleurs d'entre eux au champ de bataille ou dans la lice s'efforcèrent de créer une idéologie compatible avec les arts qu'ils pratiquaient.

    Au 15e siècle apparut cependant une discipline plus sérieuse. En Angleterre commencèrent à s'installer des personnes qui se donnaient le titre de "maîtres des nobles arts de défense". Ces hommes ensaignaient les techniques de combat aux civils et aux gens d'armes. Leurs disciplines favorites étaient l'escrime au bâton et à l'épée, les parades à l'écu et la lutte à coups de poing. Un de ces maître n'est autre que James Figg premier champion reconnu de boxe. James Figg attira l'attention de la bonne société londonienne, et l'engouement qui ensuivi donna naissance à la boxe sportive.

    Etrangement, il existe cependant en France une discipline très sembleble sur le plan technique aux arts de combat asiatiques. Appelée autrfois la savate ou le chausson, elle fut perfectionné au 19e siècle pour devenirce qu'on appelle aujourd'hui la boxe française. Il semblerait qu'elle soit née d'un art de combat populaire dans lequel coups de poing, coups de pied et crocs-en-jambe étaient autorisés. Ces techniques sont semblables à celles du karaté, et il n'est pas impossible qu'elles aient subi une certaine évolution lorsque les arts asiatiques commençèrent à se répandre en Europe Malgré ces ressemblances, la boxe française n'a d'autre prétentions que d'être un sport de détente et de défense, sans constituer le moins du monde une "voie" ou un "mode de vie".

28 mars 2007

Histoire du monastère et des moines de Shaolin

  Le monastère de Shaolin est situé au coeur de la Chine, dans la province du Henan, sur le Mont Song (Songshan), l'une des cinq montagnes sacrées de la Chine. Shaolin signifie « petite forêt ».
Le monastère fut construit en 495 de notre ère par Batuo, un moine indien, avec l'assistance de l'empereur Xiaowen des Wei du Nord (386-534), une dynastie qui propagea le bouddhisme en Chine. Mais la renommée du monastère est due à un autre moine indien, grand prédicateur, Bodhidharma, qui vint en Chine en 527 et s'installa à Shaolin. Bodhidharma se rattachait à l'école bouddhiste du Mahayana (Grand Véhicule) du nord de l'Inde, et fut le fondateur du bouddhisme chinois Ch'an, qui deviendra le Zen au Japon, école de méditation qui cherche à retrouver l'essence universelle considérée à la fois comme principe de toute existence et de toute bodhéité. On raconte que parvenu au Monastère Shaolin, Bodhidharma resta neuf ans en méditation face à un mur, pour abstraire l'idée du monde extérieur. Et la légende lui prête l'invention du Wushu : les moines passant de longues heures à méditer immobiles avaient besoin d'exercice à la fois pour fortifier leur corps et leur faculté de concentration. Il y introduisit l'idée que les Arts Martiaux visaient au développement harmonieux de l'esprit et du corps. Il mit au point le Xingyiquan, boxe de la forme et de la volonté qui serait l'ancêtre du Wushu maintenant divisé en de nombreuses écoles.

    Cette technique fut, à l'origine, secrète : les moines craignaient qu'on l'utilise à de mauvaises fins. Elle fut d'ailleurs vite détournée ; au début des Tang les moines de Shaolin se rendirent célèbres en apportant leur concours à l'empereur Taizong (règne 627-649) au moment où il fonda sa dynastie (cet épisode est dépeint sur une fresque de période Qing du monastère). Shaolin abrita ainsi jusqu'à 5000 moines guerriers, en fait un bataillon impérial, souvent utilisé dans les luttes intestines. La Boxe de Shaolin se répandit alors et vécut un âge d'or de plusieurs siècles, des Song aux Qing (960-1911) quand elle devint un art d'attaque et de défense.

    Aujourd'hui les arts martiaux se divisent généralement en trois catégories : la boxe ou exercices à mains nues, les exercices avec armes et les exercices de combat. Il semble évident que les moines ne les pratiquaient pas tous mais se spécialisaient seulement dans une ou deux disciplines. Il en est de même aujourd'hui.

    Détruit partiellement à plusieurs reprises, abandonné, incendié par les Mandchous, le Temple de Shaolin fut chaque fois restauré. Peu à peu, sa renommée s'étendit à toute la Chine. Douze empereurs y vinrent en pélerinage. Les moines devinrent des personnages légendaires.

    En 1928, le Temple fut incendié par les gardes rouges. La plupart des moines s'enfuirent à travers le pays. Seuls quelques-uns survécurent dans les ruines. Les manuscrits avaient brûlé mais grâce à la tradition orale, l'esprit de Shaolin fut sauvegardé. A la fin des années 70, le monastère fut rebâti dans toute la splendeur que l'on peut admirer aujourd'hui. Les moines reconquirent leur temple et ses terres environnantes. Les plus âgés furent très recherchés afin de perpétuer les rites anciens.

    Aujourd'hui, une centaine de moines vivent dans le Monastère dont 80 moines contemplatifs et 30 moines combattants. Ce qui est bien peu par rapport aux 1500 moines qui y vivaient à l'apogée du Temple.

    Plus de 1200 adeptes de tous âges, désireux d'acquérir un enseignement spirituel et physique, sont initiés par des maîtres aux secrets du combat et à la religion bouddhiste et taoïste. Bien sûr, tous ne deviendront pas moines, mais le diplôme chinois d'Arts Martiaux qui sanctionne leur enseignement - le meilleur du pays - leur permet de professer à leur tour dans les académies chinoises de kung-fu, de devenir garde du corps ou encore membre d'une troupe de parade. Ils deviennent l'élite du pays et toutes les portes s'ouvrent devant les jeunes diplômés.

    Le Monastère de Shaolin, lieu magique et mystérieux, est visité par plus de 2 millions de touristes par an. Ils génèrent autour du Temple de Shaolin une industrie du souvenir prospère. Ils peuvent y admirer les fresques retraçant l'histoire mouvementée du Temple, la Forêt aux Pagodes où les élèves dressaient des monuments à la mémoire de leurs défunts maîtres.

"Tous les Arts Martiaux de ce monde furent créés sous le soleil de Shaolin"
(proverbe chinois)
                                                      Monast_re_Shaoliin

28 mars 2007

Le Yoseikan Bajutsu

Techniques de combat à cheval : Basé sur les plus anciennes techniques guerrières de l'époque féodale japonaise, c'est en fait la pratique des méthodes de combat utilisées par les célèbres Samouraïs. Si le but de cette discipline n'est plus aujourd'hui de faire la guerre, elle n'en reste pas moins un art martial, ainsi qu'une discipline équestre à part entière.Cette discipline regroupe un ensemble de techniques assez variées telles que : le tir à l'arc à cheval, les combats au sabre, le lancé de javelot, le maniement de la lance, du poignard et du bâton, le travail des chutes, les techniques de monte, le dressage, la voltige en ligne, le travail avec fantassins, le saut d'obstacles, le travail à mains nues avec fantassins ou entre cavaliers, l'étude de katas (canevas - comparable à une reprise en dressage en quelque sorte), etc...

Cet art de l'équitation associée au tir à l'arc se continue encore dans la pratique du Yabusame (exercice de tir à l'arc pratiqué de nos jours au Japon lors des cérémonies traditionnelles shinto). Autrefois, au Japon, on montait à cheval par la droite, en portant le poids du corps vers l'arrière, contrairement à la coutume actuelle. Le Samouraï à cheval accrochait les rênes à un anneau de son armure afin d'avoir les mains libres pour combattre ou tirer à l'arc, et dirigeait alors sa monture uniquement par les jambes et le poids de son corps. La selle était en bois recouvert de tissu ou de cuir, et comportait un dosseret. Les étriers étaient larges et profonds, permettant une assiette stable à toutes les allures. Le Ba (cheval) Jutsu (technique) comprenait des cours complets d'équitation avec et sans armures, allant du dressage des chevaux à la maîtrise des aides, et comportait des sauts d'obstacles, des traversées de rivières, ainsi que l'apprentissage de l'usage d'armes diverses que l'on pouvait manier à cheval : grands sabres, arc, yari, naginata, etc...

Chaque famille guerrière avait ses propres techniques de Bajutsu. Une des plus anciennes écoles traditionnelles de Bajutsu était celle appelée Otsubo-ryû, créée au XVème siècle et qui utilisait le grand arc (yumi) et un très long sabre courbe (O-dachi). Ce tir à l'arc, considéré en Europe comme "féodal" et non-noble, était au Japon, l'apanage des aristocrates et de certains corps spéciaux de cavalerie. Pour les combats, les chevaux étaient protégés d'une armure en cuir avec des plaques de métal sur le chanfrein. Le Bajutsu se maintint au Japon jusque vers 1600 où il disparut définitivement suite à l'utilisation des armes à feu au combat.

Le Yoseikan Bajutsu est une discipline pratiquée et dérivée du Yoseikan Budo : Art martial et sport de combat pratiqué, lui, sur tatamis.
                                                    _Le_Yoseikan_Bajutsu_

28 mars 2007

Le Wing Chun

Le Wing Chun (ou Wing tsun Kuen : le "joli temps de printemps") est l'un des grands styles externes qui se développe rapidement à travers le monde,notamment à partir de Hong-Kong et de Singapour,ou il est particulièrement populaire.Son développement rapide au cours des dernières années s'explique par le fait qu'une certaine efficacité peut y etre acquise assez rapidement et suivant des principes issus à la fois des styles durs et des styles doux,ainsi que par nombre de ses sifu,plus ouverts aux idées spotives modernes amenées par les étrangers intéressés par le kung-fu.Mais, par-dessus tout,il le doit à la soudaine notoriété de Bruce Lee qui avait pu bénéficier
quelques temps de l'enseignement de Yip Man,le dernier grand sifu incontesté du style,décédé en 1973. Les rudiments de ce style de combat du sud ont été jetés il y a plus de quatre siècles par une nonne bouddhique,NG Mui.Puis ces bases furent transmisent à une autre femme,Yim Wing-Chum,qui vécut plusieurs années au contact de Ng Mui avant d'épouser Leug Bok-Cho.ce fut en réalié ce dernier qui après le déces de son épouse,poursuivit l'élaboration et la codification du style et l'appela Wing Chun,peut etre en hommahe à celle qui l'y avait initié.Puis le style fut transmis par Wong Wha-bo,par Leung yee-tye,par Leung Jun,enfin par Chan Wha-soon;ce dernier qui consacra sa vie à perfectionner le Wing-Chun,n'enseigna qu'à seize étudiants triés sur le volet,et dont le plus jeune s'appelait Yip Man.Ce petit homme toujours souriant,qui n'avait rien d'un colosse,fut le dernier de la lignée:il enseigna jusqu'à l'àge de 79 ans dans un petit Kwoon de hong-kong,et mourut l'année d'après.Nombreux sont les sifu qui s'en déclarent aujourd'hui les successeurs;ainsi, parmi les plus en vue,KIm Chui,Leung Cheong,Tang Sang,Leung Ting,qui a repris
l'enseignement de Yip Man,basé sur des mouvements plus directs.Il existe actuellement plusieurs associations rivales de Wing Chun. Techniquement,le Wing Tsun Incarne l'éfficacité à travers une grande éconimié de mouvement,donc d'énergie.Les mouvements sont très courts,à partir d'une position très stable,permettant des récations rapides dans toutes les directions.Les esquives sont souples,les contre-attaques fulgurantes. En Wing-Chun la réponse fondamentale à une attaque est
Chi Sao,technique très particulière consistant à coller les avant-bras tout contre ceux de l'adversaire,non pas d'une manière statique mais en des entrelacs,et mouvements très fluides.Elle se pratique d'un seul bras,sous sa forme simple,les deux bras au stade avancé.Le but est de prendre contact avec le coup de l'adversaire,à "fleur de peau", sans jamais le bloquer en force,pour le contourner très rapidement,le dévier,le retourner à sa source,tout en permettant une contre-attaque instanttanée de l'une ou de l'autre main,sans qu'il y ait rupture d'équilibre.A la force brute de l'attaque,il faut répondre par la
passivité,l'élasticité.Le Wing-Chun est donc un style parfait pour le corps à corps,avec des contre-attaques
extrémement sèches et puissantes.
                                                    _Le_Wing_Chun_

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28 mars 2007

Le Vovinam Viet Vo Dao

Présentation du Vovinam Viet Vo Dao .

Le Maître Nguyen Loc , né en 1912 au Vietnam fut captivé dès son plus jeune âge par l’étude des arts martiaux et de la philosophie vietnamienne. C’est sur les conseils de ses maîtres qu’il partit voyager dans tout le pays. C’est lors de ce parcours initiatique qu’il entreprit de rassembler les techniques millénaires du Viet Vo Dao dispersées dans tout le Vietnam. C’est en 1938, après avoir " mis ses connaissances à rude épreuve et après une longue méditation " qu’il codifia et structura en secret les techniques qu’il avait retrouvées. Plus tard, il commença à réunir ses disciples et fonda le Vovinam Viet Vo Dao .

L’art martial naît officiellement en 1945, lorsque Maître Nguyen Loc le présente à Hanoi où il en dispensera l’enseignement. Depuis ce jour, le Vovinam Viet Vo Dao a pris de l’ampleur et est aujourd’hui enseigné dans toutes les parties du monde.

Art Martial traditionnel Vietnamien, le VOVINAM VIET VO DAO est l‘oeuvre de tout un peuple engagé tout au long de l‘histoire dans une lutte pour la définition et la préservation de son identité. Depuis sa fondation par l’empereur Hung Vuong en 2879 avant JC, des étapes clés ont assuré la lente et souvent douloureuse maturation de ce qui allait devenir un Art Martial conjuguant tradition et modernité.

Que signifie Vovinam Viet Vo Dao ? VOVINAM = Art Martial Vietnamien (nom de l'école)

VIET = Transcendant Supérieur (et nom du peuple vietnamien)

VO = Art Martial

DAO = La Voie

Les 10 Principes fondamentaux
1. Atteindre le plus haut niveau de l’Art pour servir l’Humanité.
2. Être fidèle à l’idéal du Viet Vo Dao et dévoué à sa cause.
3. Être toujours unis, respecter les Maîtres et les Aînés, aimer les Condisciples.
4. Respecter rigoureusement la discipline, placer l’honneur au dessus de tout.
5. Respecter les autres Arts et n’utiliser le VietVoDao que pour la légitime défense.
6. Cultiver la connaissance, forger l’esprit, progresser dans la voie.
7. Vivre avec probité, simplicité, fidélité et noblesse d’esprit.
8. Développer une volonté d’acier, vaincre les difficultés.
9. Être lucide, persévérant et actif.
10. Être maître de soi-même, modeste, respectueux, tolérant et progresser en se jugeant soi-même.

Les Richesses du Vovinam Vietvodao

Les techniques de base Techniques de poings, de jambes, de coudes, de parades, de genoux, marteaux, tranchants, piques, sauts...
Les techniques de chutes et de roulades Différentes techniques permettant de chuter au sol sans se blesser.
Les techniques de combat Contre-attaques, stratégies, tactiques de combat à travailler.
Les techniques de Self-défense Comprenant dégagements, clefs, projections sur les attaques subies en situation réelle.
Les Quyen Enchaînements de combat contre un ou plusieurs adversaires fictifs. Les styles d'animaux sont représentés et étudiés.
La lutte vietnamienne - Vat L’art du combat rapproché.
Les ciseaux volants - Don Chan Spécificité du VOVINAM VIET VO DAO, saisies sur plusieurs niveaux du corps, taille, cou…
Les Song Luyen Enchaînement de combat codifié avec un ou plusieurs partenaires, à main nue ou armée. Les armes traditionnelles Le sabre, le bâton, le couteau, la hache, la hallebarde…
La théorie, la philosophie Une centaine de thèmes à approfondir avec l’aide des maîtres et enseignants.

La pratique du VOVINAM VIET VO DAO favorise le développement harmonieux de tous les muscles. Elle oriente le pratiquant vers la maîtrise de son corps : l’aisance corporelle, la souplesse. Elle développe aussi la confiance en soi, permet de vaincre la timidité et à canaliser l’agressivité latente.
Aucune violence n’est exprimée, grâce à la recherche permanente de l’équilibre, de la perfection du mouvement, de l’esthétique et de l’efficacité des enchaînements, avec toujours un profond respect du partenaire et un esprit de discipline qui définit les règles et usages à respecter, à l’égard des autres et de soi-même.

Les Enfants :
Peu d’enfants et d’adultes résistent au plaisir de découvrir un Art Martial, activité d’équilibre qui convient à tous, petits et grands (dès l’âge de 7 ans, l’enfant peut s’y initier). L’enseignement est, bien sûr, adapté à la morphologie et à l’âge. Pour les enfants, il consiste en une initiation, une préparation à la véritable pratique du VOVINAM VIET VO DAO : culture physique, assouplissements, techniques de base, jeux éducatifs, étude des " Quyens " (enchaînement de techniques représentant un combat fictif).
                                                           _Le_Vovinam_Viet_Vo_Dao_

28 mars 2007

Le Viet Vo Dao

Histoire :

Le Viet Vo Dao est un ancien art martial que le peuple vietnamien a élaboré progressivement pendant toute son histoire et, donc, une partie intégrante de sa culture et de son âme. L’histoire du Viet Vo Dao est l’histoire du peuple vietnamien.

Non seulement un ensemble de techniques de combat, le Viet Vo Dao reflète l’esprit d’un peuple qui, dans les siècles, a dû lutter toujours pour garder son indépendance et son unité.

La forme de cet Art, tel qu’il est connu et divulgué par la fédération, est due à l’œuvre du M° Charles Phan Hoang qui a cherché de proposer au monde occidental, en adaptant leurs formes mais sans modifier leur substance, les principes et les techniques d’un art dont le but n’est pas seulement le combat contre un adversaire, contre un ennemi, mais la formation de l’homme dans tous ses aspects.

Le Viet Vo Dao n’est donc pas simplement un ensemble de techniques de combat mais aussi une philosophie, une conception de vie selon: "Etre fort pour être util"

Puisque l’histoire du Viet Vo Dao est étroitement liée à l’histoire du peuple vietnamien, elle en reflète aussi l’âme.

Le Viet Vo Dao est caractérisé par le fait qu’il n’est pas l’invention d’une seule personne, mais l’œuvre de tout un peuple qui, pendant toute son histoire, a dû lutter constamment pour survivre. Contrairement à certaines autres régions asiatiques, où la pratique des arts martiaux devint la prérogative d’une classe sociale privilégiée (les Kchatrya en Inde, les Samurai au Japon), au Vietnam l’art martial est née dans le monde paysan et s’est développée avec ce dernier. Il est difficile de préciser sa date de naissance, qui certainement remonte à l’époque où l’ancien Viet Nam s’étendait encore dans la partie méridionale de la Chine, jusqu’au fleuve Duong Tu Gian (Yan Tse Kiang), il y a 5000 ans. Pour cette raison on honore l’empereur Hung Vuong I soit comme fondateur du Vietnam soit comme créateur du Viet Vo Dao. En effet sous la dynastie des Hung Vuon (2879 - 258 a. C. ) l’art martial vietnamien et la médecine traditionnelle se structurèrent au même temps que la philosophie.

Philosophie :

Les concepts de "être humain" et de "monde" sont interprétés par la philosophie du VVD selon le principe fondamental de l’harmonie, et non pas de la manipulation, de la vexation et de la domination. De cette façon, le chemin de l’art martial vietnamien vise à la formation de l’Homme Vrai, non seulement de l’Homme Fort, et il est fondé sur le principe de l’harmonie entre la Force et la Flexibilité.

Son mot: Etre fort pour être utile

Son salut: Main d’acier et bonté de coeur

Son symbole: Le bambou

Conclusion :

La grandeur du Viet Vo Dao est celle de faire de chaque pratiquant un ami des hommes et non pas un ennemi plus fort parmi d’autres ennemis.

La valeur d’un art martial consiste essentiellement dans sa philosophie. Le Viet Vo Dao présente un système philosophique très riche.

Le long de son chemin, chaque pratiquant découvrira, parallèlement à son évolution technique, la profondeur du Viet Vo Dao. La philosophie du Viet Vo Dao est l’âme millénaire de la culture
du Vietnam.
                                                    _Le_Viet_Vo_Dao_

28 mars 2007

Le Vale Tudo

Le Vale Tudo signifie "tout va" et désigne une forme libérale de compétition sportive crée au BRESIL .

Ce type de compétition fait fureur depuis une quelques années et lors de celles-ci des grands combattants s'y sont illustrés(Rickson Gracie, Marco Ruas ).

Jusqu 'en 1994, ce systeme de combat resta limité à son pays d'origine. C'est le japonais Satoru Sayama , créateur du Shooto, qui lançà le mouvement à travers le monde.Les règles du Vale Tudo autorisent une très large variété de techniques de frappes, ajoutés à la lutte. L'affrontement a lieu sur un ring et les combattants portent des gants fins et coupés permettant les saisies et projections.Les tenues sont libres mais la plus courantes se constitue du slip de lutteur.
                                                      _Le_Vale_Tudo_

28 mars 2007

Le Taekwondo

Le Taekwondo a des origines très anciennes, il a subi de nombreuses divisions qui expliquent la complexité de son "arbre généalogique". Il nous vient de Corée, il s'est développé clandestinement en réaction à l'occupation japonaise pendant la deuxième guerre mondiale.Le taekwondo puise ses racines dans le Karaté japonais er certaines méthodes coréennes.

Il est arrivé en France par le biais de maître Lee Kwan Young en 1969 et n'a cessé de se développer depuis.

La France n'est pas un cas à part, le Taekwondo est en plein essor dans le monde entier (plus de 150 pays), sport de démonstration aux J.O de Séoul (1988) et de Barcelone (1992) il est discipline olympique depuis les jeux de Sydney. Le TKD est en France régi par la FFTDA qui a divorcé de la FFKAMA (fédération française de karaté) en 1991 pour devenir autonome. Le nombre de ses licenciés a doublé (près de 35 000 aujourd'hui), le Taekwondo est le troisième art martial en France après le judo et le karaté.

Le Taekwondo est extrêmement populaire chez les jeunes. C'est à la fois un art martial et un sport de combat, comme art martial, il demande le respect des règles et l'apprentissage de la perfection technique. En tant que sport de combat, il permet un engagement physique et mental et des sensations fortes. Chacun, selon son âge, sa personnalité, y trouvera ce qu'il cherche.

La France est la deuxième nation européenne et la sixième mondiale, elle obtient régulièrement des bons résultats et des médailles aux compétitions internationales (un champion du monde, un médaillé de bronze au J.O, plusieurs champions d'Europe et des vice-champions mondiaux et européens). Cet art martial coréén met principalement l'accent sur les coups de pieds, la souplesse, l'usage des poings est rare et la garde est basse en combat.

Le taekwondo a de nombreuses vertus:Il permet de maintenir et de développer la souplesse innée chez l'enfant. Il développe la latéralisation et l'équilibre. Il draine l'énergie et canalise l'aggresivité car il permet de se dépenser et de se "défouler" d'une manière éducative et contrôlée par les règles propres au Taekwondo. Les risques physiques sont faibles au Taekwondo. Il n'y a pas de contact en dessous de 12ans ; au-dessus les coups sont portés mais exclusivement au plastron. Les combats et les entraînements au combat ont lieu avec des protections (casque, plastron, coquille, protège-tibias et avant-bras).

Un professeur de Taekwondo doit avoir une formation au niveau technique mais aussi pédagogique. Il est important de choisir un club avec une structure solide et des enseignants à la hauteur. Le Taekwondo recherche l'harmonie du corps et de l'esprit.

Il permet aux adultes d'avoir une bonne hygiène de vie et de rester en forme, d'évacuer le stress. Il développe les réflexes, l'anticipation et l'assurance dans les situations de conflit. En définitive le Taekwondo offre: Souplesse, agilité, force, réflexes, équilibre et ouverture au monde.


Le système et techniques du Taekwondo:

L'entrainement s'éffectue de plusieurs manières;soit en solo "Ki-Bohn qui consiste comme au karaté à travailler sur plusieurs allers retours les bases techniques(coups de poing,de pied,blocage).

Les Poom-se: sont des enchainements préétablis qui contiennent des techniques moins souvent travaillées en Ki-Bohn.Le combattant doit les éffectuer en s'imaginant entrain de combattre afin de bien visualiser, les techniques et les déplacements.

Le Sam-Bonn et Han-Bonn-Keulougi: sont des combats conventionnels en ligne et sur plusieurs pas.Celà met l'élève face à un partenaire qui doit jouer la sincérité de l'attaque et lui permettre d'affiner sa vitesse de réaction,sa précision,son controle,sa puissance et sa stabilité.

Le Keulougi :est le combat libre qui peut etre envisagé d'abord comme un assaut lent (avec usage des pieds ou des poings ) ou comme un combat "réel".On finit par le combat totalement libre et la compétition sportive arbitrée avec port de protection(casque,plastron,coquille,protèges tibias...)

Le Kyok-Pa:est le test de casse sur matériaux divers qui permet de travailler la précision,la vitesse,et la technique.

En bref, le Taekwondo est un art martial complet qui offre une pratique diversifiée et passionnante.

Les qualités principales du Taekwondo sont liées à la souplesse que l'on acquiert par la pratique.

La grande force du taekwondo réside dans son explosivité et dans l'usage des techniques de jambes.

La faiblesse du Taekwondo réside dans le fait que cet art ne privilégie pas le maintient d'une garde haute et l'usage de coup de poing au visage ce qui peut entrainer la formation de mauvais réflexes lor
sque l'on est amener à rencontrer des pratiquants d'autres styles.Cependant à haut niveau nul ne peut conteste.                     
                                                      _Le_Taekwondo_

28 mars 2007

Le Qwan-Ki-Do

Cette discipline sino-vietnamienne a été créée en France par maître Phan Xuan-Tong.

Né au viêt-Nam en 1947 il étudia le vô sous la direction de grands instructeurs et en 1973 il fut l'un des fondateurs de la Fédération Française du Viêt-vô-dao.

le QWAN KI DO comprend des techniques de frappes du vô, associé à la lutte vietnamienne, et d'une forme proche du tai-chi-chuan, associé à des techniques d'armes. Les principales armes sont:le baton court et long, les fléaux à deux et à trois branches, la hache, l'épée, la hallebarde.
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